Les
filles sont presque nues sous leurs p’tits pulls marine
Le nombril ingénu elles clignent du piercing
Les tétons se devinent j’en vois qui me sourient
Les hanches s’encoquinent qui tanguent et je vacille
Voilà
déjà l’été regarde où ça me mène
Quand les fill’s cherchent l’air sous leur jupe persienne
Voilà déjà l’été les filles deviennent reines
Et j’ai l’air tout nigaud devant mille Chimène
Ah
vivement l’hiver voilà ce que je crie
Quand je les vois passer qu’ ça m’ fait guili-guili
Regards
coquins troublants regards timid’s aussi
Regards heureux d’enfant c’est beau des yeux qui brillent
Regards furtifs aussi madame n’est pas loin
Les hommes sont lourdauds les filles le savent bien
Refrain
Des
parfums enivrants des dessous qui s’faufilent
Des tissus labyrinthes comme des jalousies
Tu vois tu ne vois rien mais trop tard c’est parti
Ton imagination ne te laisse aucun répit
Et puis
tu en es sûr celle-ci elle t’a souri
Ah
vivement l’hiver voilà ce que je crie
Quand je les vois passer qu’ ça fait guili-guili
Ah vivement l’hiver que les filles se rhabillent
Oui mais pas
trop quand même et surtout pas trop vite
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