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« Après une participation remarquée au Festival Détours de Chant 2008 » aux côtés d'Anne Sylvestre, Garance vient promener son micro et son piano à Cahors [...] Tant par le talent que par l'émotion dégagée, Garance est un duo qui ne peut que surprendre »
la Dépêche du Midi - mars 2008


« J'ai été complètement impressionnée, j'ai même hésité un moment avant d'écrire cet article .impressionnée, intimidée, vraiment.
Je ne devrais pas écrire ça, déjà que Garance « se la pète ». C'était extraordinaire, réellement.le public unanime a complètement accroché, Garance nous a embarqué dans une autre dimension, c'était superbe. Je suis profondément convaincue de la pleine réussite de Garance, même si leur travail sera plus dur que pour d'autres puisque l'essentiel est réalisé sur scène.et qu'il faudra les multiplier. »
Lisart - février 2008


 « Autre moment très attendu du Festival Détours de chant 2008, le retour de Loïc Lantoine à Toulouse. On vous conseille toutefois d'arriver à l'heure pour ne pas rater l'excellente première partie : Garance, un spectacle à tiroirs d'une ironie féroce mais juste, entre humour et désespoir, dont on ne sort pas indemne. »
Flash - février 2008


« Redescendre doucement d'un voyage sous amphétamines. Après analyse approfondie, c'est bien l'effet que procure un spectacle de Garance. »
Sud Ouest - novembre 2007


Garance, duo inoubliable

Il porte le nom d'un personnage célèbre auquel Arletty avait prêté ses traits dans les Enfants du Paradis de Carné. Garance, un duo, (Marc Maurel et Jérôme Abadie) inoubliable. Tant par le talent que par l'émotion dégagée. Les deux compères investissent la scène de la Cave-Poésie, après avoir brûlé les planches du Grand-Rond il y a peu.
Garance est un spectacle à tiroirs : chant, théâtre, improvisations avec le public... autant de façons d'aborder la scène dont ces deux artistes ne se privent pas. Entre humour et désespoir, ils malaxent l'époque d'une ironie féroce mais juste. Jamais trop ou pas assez. Mais un saupoudrage de réflexion parfaitement dosé.
Si Boris Vian est leur mentor, le duo s'inspire aussi de l'air du temps pour trousser des mélodies qui parlent des gens tout simplement. Si Marc Maurel vit ses personnages à fond, passant du rire aux larmes, Jérôme Abadie, lui, donne au spectacle son tempo très swing. Deux artistes respectueux l'un de l 'autre, qui se complètent sans jamais se mettre en avant.

Au bout d'une heure trente, on est presque étonné que la fin soit déjà là. Ce duo infernal, à la fois exubérant et attachant, fait alors partie un peu de soi. C'est peut-être cela le vrai talent.

Silvana Grasso (La dépêche)

Article paru dans la rubrique CRITIQUES / CHANSON de "La Dépêche " du 25/08/2007  


"Nous les avons accueillis en apéro-spectacles deux fois déjà et à chaque fois nous sommes retombés sous le charme de ces chansons à textes drôles et tristes, de ces mélodies d'apparence simple mais qui vous attrapent les oreilles aussi sûrement qu'un chat une souris...
Si ce festival est sous-titré "chansons à voir", c'est grâce à eux : non seulement ils ont inventé cette jolie association de mots, mais ils en sont les plus dignes représentants... Il faut voir Marc Maurel chanter "La vengeance du mannequin" ! "

Le théâtre du Grand Rond Aout 2006 


“Caressants, cinglants ou brûlants, les mots vont droit à l’essentiel” 

La Dépêche


“Marc ne chante pas il joue et grâce à lui, les personnages de ses histoires prennent vie.”

La Dépêche


   

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